L'Alchimiste, PAOLO COELHO

par **Opheliac** Dim 11 Mar - 19:57

Wiki a écrit:L'Alchimiste (O Alquimista) est un roman d'apprentissage, conte philosophique de Paulo Coelho paru en 1988 (1994 pour la traduction française).

Le héros de ce court roman est un jeune berger espagnol. Lors d'un voyage qui le conduit d'Andalousie aux Pyramides d'Égypte, en passant par Tanger et le désert du Sahara, il découvre sa légende personnelle grâce à l'aide d'un roi et d'un alchimiste.

Cette légende personnelle est le projet particulier et favorable dont nous sommes tous porteurs et dont l'accomplissement dépend de notre capacité à retrouver nos envies profondes : Si vous écoutez votre cœur, vous savez précisément ce que vous avez à faire sur terre. Enfant, nous avons tous su. Mais parce que nous avons peur d’être désappointé, peur de ne pas réussir à réaliser notre rêve, nous n’écoutons plus notre cœur. Ceci dit, il est normal de nous éloigner à un moment ou à un autre de notre Légende Personnelle. Ce n’est pas grave car, à plusieurs reprises, la vie nous donne la possibilité de recoller à cette trajectoire idéale»1.

L'histoire est en partie inspirée d'une très courte nouvelle de Jorge Luis Borges, Le conte des deux rêveurs.

L'Alchimiste, qui a fait connaître Paulo Coelho du grand public, au Brésil puis en Europe, est devenu un bestseller mondial. Ses admirateurs le comparent au Petit Prince ou au Prophète, quand ses détracteurs[Qui ?] critiquent sa philosophie simpliste et son absence de style supposées.

« Quand nous avons de grands trésors sous les yeux nous ne nous en apercevons jamais. Pourquoi cela ? Parce que les hommes ne croient pas aux trésors. »

Un livre que j'ai adoré, alors que je n'adhère pas spécialement à cet auteur de base, mais le père de mon fils me l'a offert alors que nous étions encore ensemble et je l'ai lu. Il est magnifique. Bizarrement ce livre m'a fait du bien, comme à tous mes amis qui l'ont lu. Une quête personnelle sur le Grand Oeuvre, une des significations de l'Or.
Je ne saurais trop vous en parler sans vous le raconter, je ne dirai donc rien si ce n'est qu'il est fantastique.

par **Keir** Dim 11 Mar - 20:01

j'ai décroché. je ne parviens pas a le finir. Il ne dégages rien de spécial pour moi. Santiago est encore dans la boutique du vendeur de vases, la ou je me suis arrêté.
l'écriture est simpliste a moi a mon gout. Il ne raconte rien qui m'intéresse vraiment. Santiago est un peu prétentieux, naïf et banal. On apprend rien; ça sent la philo de comptoir. Des réflexions sur la vie que l'on se fait a soit même sans se le dire.
Il m'a fait chier. je ne sais pas si je le reprendrais.

par **Keir** Dim 11 Mar - 20:03

La blague c'est que je vais bientôt commencer "veronika décide de mourir", du même auteur et qu'il me donne diablement plus envie.

par **Joyce** Dim 11 Mar - 20:04

Oui de même, Veronika décide de mourir me donne envie également!

par **Opheliac** Dim 11 Mar - 20:05

Keir a écrit:j'ai décroché. je ne parviens pas a le finir. Il ne dégages rien de spécial pour moi. Santiago est encore dans la boutique du vendeur de vases, la ou je me suis arrêté.
l'écriture est simpliste a moi a mon gout. Il ne raconte rien qui m'intéresse vraiment. Santiago est un peu prétentieux, naïf et banal. On apprend rien; ça sent la philo de comptoir. Des réflexions sur la vie que l'on se fait a soit même sans se le dire.
Il m'a fait chier. je ne sais pas si je le reprendrais.

J'ai eu du mal au départ. Le style de Cuelho n'est pas de ceux que j'aime à la base.
Philosophie de comptoir? Je ne sais pas, peut être. Tu t'es arrêté bien avant sa rencontre avec l'Alchimiste, essaie peut être de pousser un peu.

Je pense de toute façon que c'est un livre qui doit se lire avec le coeur et non avec l'esprit, l'histoire est jolie, on y voit de belles choses, ce n'est juste pas de la grande littérature.

par **Keir** Dim 11 Mar - 20:08

je l'ai commencé parce que mon beau père me l'a prêter en me disant qu'il avait adoré. Et c'est un rêveur mon beau père. un peu désabusé par la vie, il a véritablement aimé ce livre. J'ai donc lut en pensant que ça m’apporterais un peu de fraicheur, de poésie. ben non, un peu de poésie naïve au début oui, mais Santiago est un personnage chiant comme la pluie. je le finirais surement, parce que je n'aime pas laisser un livre sans en connaitre la fin.

par **Alva Howl** Dim 11 Mar - 21:27

Keir a écrit:La blague c'est que je vais bientôt commencer "veronika décide de mourir", du même auteur et qu'il me donne diablement plus envie.

Oh franchement, tu va trouver la morale et la réflexion de ce livre vraiment très simpliste.

par **Keir** Dim 11 Mar - 21:35

ah ben merde alors.

par **Alva Howl** Dim 11 Mar - 23:05

Ouais mais il se lit vite alors bon, tu perdra pas trop ton temps, et puis mine de rien il est bien quand même.

par **Keir** Dim 11 Mar - 23:27

l'alchimiste, justement, ça se lit vite, mais pas parce que c'est passionnant, mais parce qu'on a envie d'en finir Argh

par **Alva Howl** Dim 11 Mar - 23:48

D'toute façon, tu peux pas savoir tant que tu l'as pas lu. :redface:

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